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Aya Nakamura est l'autrice de 3 albums à succès, dont l'un (« Nakamura », 2018) s'est écoulé à un million et demi d'exemplaires, obtenant un disque de diamant sur le sol national, et un autre disque de diamant à l'export. Elle est de retour en 2023 avec « DNK », un quatrième album qu'elle présentera à l'occasion de trois concerts exceptionnels à l'Accor Arena à Paris les vendredi 26, samedi 27 et dimanche 28 mai 2023.

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C’est une thématique qui traverse les décennies : chez les grandes icônes générationnelles, leur image publique de star est en décalage avec la réalité de leur vie quotidienne. Derrière les strass, le luxe, la mise en scène, les vedettes de la musique, du cinéma ou de la télévision mènent une existence faite des mêmes aléas que leurs fans. Petites joies, grandes peines, moments en famille, éducation des enfants : que l’on se trouve au centre de la scène, en coulisses, ou parmi les spectateurs, toutes les vies sont composées des mêmes successions d’instants. 

La famille Danioko ne fait pas exception. Parmi les membres de cette famille chaleureuse et vivante, une jeune femme a plutôt bien réussi sa vie professionnelle. On la connaît dans le monde entier sous le nom d’Aya Nakamura, autrice de trois albums à succès, dont l’un (Nakamura, 2018) s’est écoulé à un million et demi d’exemplaires, obtenant un disque de diamant sur le sol national, et un autre disque de diamant à l’export. Elle présente aujourd’hui son quatrième album, intitulé DNK, une référence directe au nom de famille qu’elle partage avec les siens.

Les marqueurs de réussite d’Aya dans le monde de la musique sont trop nombreux pour être tous cités. Pêle-mêle, elle cumule plus de trois milliards de vues sur Youtube, dont un tiers pour le tube planétaire Djadja, certifié triple-diamant en France. Elle a collaboré avec Balenciaga, a battu des records appartenant à Edith Piaf, a performé sur Fortnite devant des millions d’utilisateurs, s’est faite tirer le portrait par le Times, avant de faire la Une de Vogue. Elle est montée sur scène aux côtés d’Alicia Keys à Bercy, a fait danser Rihanna, été validée par Kim Kardashian. On pourrait continuer longtemps, mais cet embryon de liste suffit à situer la chanteuse sur l’échiquier de la musique française. Véritable icône générationnelle, Aya Nakamura est pourtant une jeune femme comme une autre en famille : elle reste la fille d’une maman qui a toujours été passionnée par le chant, elle reste la maman de deux filles qui se lèvent tous les matins pour aller à l’école, et rechignent tous les soirs à aller au lit. 

Avec l’album DNK, Aya raconte cette partie de sa vie, celle qui démarre une fois le rideau fermé et les applaudissements terminés. Les salles de concert, les plateaux de télévision, le studio d’enregistrement, font partie intégrante de ce qu’elle vit. Ils ne constituent pas pour autant l’essentiel de ce qu’elle est. Se racontant sans filtres tout au long des 15 titres de la tracklist, la jeune femme dévoile à son public tout un pan méconnu de sa personnalité. Tantôt vulnérable, comme sur le titre Daddy feat SDM (“nostalgique, je repense au début, tu me rends fragile”), tantôt sûre d’elle, comme sur le dansant Haut-Niveau (“tu voulais me comparer aux autres, mais moi c’est le haut niveau”), elle se livre avec une sincérité inattendue pour une star de son calibre. 

Si elle doit composer avec de longues sessions de travail et des trajets dans le monde entier, Aya Nakamura livre avec DNK un album aux sonorités festives et aux rythmiques langoureuses, évacuant en musique la pression quotidienne subie loin du confort de l’anonymat. Oscillant entre influences afro-caribéennes (Chacun, Bloque) et mariages entre ses différentes inspirations pop, zouk ou RnB (Coller, Baby). La couleur très ensoleillée de ce disque n’empêche pas la chanteuse de laisser libre court à d’autres facettes de sa personnalité, comme sur le titre Belleck, dont l’ambiance très club s’appuie sur une prod aux accents trap et une interprétation basée sur les adlibs et les répétitions volontaires. 

Quand elle aborde ses sentiments amoureux, Aya Nakamura se dévoile comme elle l’a rarement fait auparavant. Avec son refrain catchy, le titre Coller évoque une relation chancelante et la difficulté d’une rupture devenue nécessaire “j’ai compris que là, il fallait mettre fin, mais c’est pas si facile que ça, tu m’as fait trop mal, je me suis voilée la face”. Le même type de thématique douloureuse est abordé sur un autre morceau aux sonorités douces, Chacun, en featuring avec Kim, surnommée la déesse du zouk. Aya y raconte sa décision de mettre fin à une vie de couple devenue néfaste (“croire en nous j’ai arrêté, mes émotions t’as négligé”), avec un partenaire trop distant qui ne remplit pas son rôle (“t’étais pas là quand j’avais besoin”). 

Entre décisions fortes pour assurer son propre bien-être, et difficultés à s’affranchir totalement de sentiments que l’on ne peut pas toujours contrôler, Aya Nakamura est encore une fois prise entre deux feux. De la même manière qu’elle doit composer entre vie privée et vie publique, et chercher constamment à faire coexister les deux versants de son existence, elle doit également trouver un équilibre entre ce que lui dictent d’un côté sa raison, et de l’autre son cœur. Au milieu de la tracklist de DNK, le titre J’ai Mal laisse la voix d’Aya s’exprimer pleinement et sans artifices sur une production drumless (sans percussions). Cet habillage minimaliste permet à la chanteuse de livrer une interprétation plus mélancolique que le reste de l’album, évoquant ses propres faiblesses intérieures (“mon cœur crie à l’aide, c’est pour ça que je t’appelle”). Elle fait par la même occasion un clin d'œil à ses fans de la première heure, qui se rappelleront que le tout premier single d’Aya, publié en 2015, et devenu involontairement un succès spectaculaire, s’intitulait lui aussi J’ai mal

Cette petite référence au passé est aussi l’occasion d’appuyer sur l’une des principales réussites d’Aya Nakamura : en 2023, elle entame sa huitième année de carrière. En huit ans, l’artiste et la jeune femme ont évolué parallèlement. Simple phénomène à ses débuts, la chanteuse a non seulement confirmé sa réussite, mais aussi dépassé toutes les espérances, et franchi des limites que peu d’artistes français ont effleuré. De son côté, Aya, la jeune femme, n’avait pas encore vingt ans quand elle a connu son premier succès. Huit ans plus tard, elle est maman de deux enfants, est devenue une femme d’affaires accomplie.

Cette double-réussite, artistique et personnelle, s’explique de deux façons. Sur le plan musical, Aya Nakamura est l’une des seules artistes françaises à avoir su se créer son propre créneau. Mariant ses différentes influences, elle a su imposer au fil des années une proposition artistique unique et singulière, désormais parfaitement identifiée par le public. Côté personnel, Aya a eu la chance de pouvoir s’appuyer sur une famille unie, un soutien indispensable quand on est confrontée très jeune à la célébrité, et que l’on devient une personnalité publique constamment sous le feu des projecteurs. 

Avec DNK, son quatrième album, Aya Nakamura referme définitivement la distance qui a pu se créer entre son image publique et la réalité de sa vie personnelle. A 27 ans, elle est encore une jeune femme qui a besoin de s’amuser, mais aussi une mère de famille qui assume chacune de ses responsabilités, une amoureuse en proie à la déception, une grande soeur qui conseille ses benjamines. Quand des milliers de personnes se déplacent à ses concerts, et que des millions d’auditeurs s’arrachent ses albums, elle reste cette fille qui aime retrouver les siens.


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