The Kills billets et dates
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The Kills
L'Olympia, Paris - France Complet
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Chaque commande est limitée à quatre places.
Catégorie 1 : Mezzanine (assis, numéroté)
Catégorie 2 : Balcon (assis, numéroté)
Catégorie 3 : Orchestre debout (placement libre)
Que nous le cherchions ou non, nous trouvons tous Dieu quelque part. Ce peut être dans la nature. Dans l'église. Dans le métavers. Cela diffère pour chacun d'entre nous. The Kills ne disent pas nécessairement où Dieu pourrait se trouver, mais le duo - Alison Mosshart (chant) et Jamie Hince (guitare) - a certainement l'air de l'avoir vu. Comment expliquer autrement l'appel et la réponse primale entre la catharsis vocale blues-soul d'Alison et les transmissions de guitare de Jamie sur le sixième album du duo, « God Games » (Domino).
« Je voulais écrire un disque de spirituals sans Dieu », déclare Jamie. « Dans la vraie vie, je suis athée. Sur le plan créatif, je joue beaucoup avec Dieu. J'aimais occuper l'espace entre ces oppositions. »
« Dans cet espace, il est difficile d'être malhonnête », ajoute Alison. « Il s'agit d'un journal intime de sept ans. C'est une toile temporelle pour nous. »
Catégorie 1 : Mezzanine (assis, numéroté)
Catégorie 2 : Balcon (assis, numéroté)
Catégorie 3 : Orchestre debout (placement libre)
Que nous le cherchions ou non, nous trouvons tous Dieu quelque part. Ce peut être dans la nature. Dans l'église. Dans le métavers. Cela diffère pour chacun d'entre nous. The Kills ne disent pas nécessairement où Dieu pourrait se trouver, mais le duo - Alison Mosshart (chant) et Jamie Hince (guitare) - a certainement l'air de l'avoir vu. Comment expliquer autrement l'appel et la réponse primale entre la catharsis vocale blues-soul d'Alison et les transmissions de guitare de Jamie sur le sixième album du duo, « God Games » (Domino).
« Je voulais écrire un disque de spirituals sans Dieu », déclare Jamie. « Dans la vraie vie, je suis athée. Sur le plan créatif, je joue beaucoup avec Dieu. J'aimais occuper l'espace entre ces oppositions. »
« Dans cet espace, il est difficile d'être malhonnête », ajoute Alison. « Il s'agit d'un journal intime de sept ans. C'est une toile temporelle pour nous. »
+ Première partie : Picture Parlour
Des nocturnes aux cauchemars.
Picture Parlour a récemment diffusé sa transmission histrionique à travers les quartiers ténébreux du sud de Londres et au-delà, gagnant la reconnaissance de tous ceux qui ont eu l'intelligence de les découvrir jusque-là. Après seulement une poignée de concerts, ce groupe a fait une entrée fracassante sur la scène musicale.
En observant leur set live, vous vous demanderez si vous ne vous êtes pas retrouvés en juillet 1976, assis au dernier rang poussiéreux d'un Ciné Lumière, attendant une projection néo-noir sordide. A condition d'avoir réussi à décrocher un billet avant qu'il ne soit épuisé, ce qui est de plus en plus fréquent avec ce groupe fiévreux.
Préparez-vous à un interlude de mini-cinéma qui se propose de séduire le public avec les paroles d'un comédien né, accompagnées d'une généreuse dose de guitares envoûtantes et de lignes de basse sordides.
Picture Parlour est composé de l'auteur-compositeur-interprète Katherine Parlour (côté bleu de Liverpool) et de la guitariste Ella Risi (côté blanc du Yorkshire). Elles ont commencé à écrire ensemble pendant la pandémie, développant leur propre son et s'inspirant de Patti Smith et Nick Cave, pour n'en citer que deux.
Depuis, ils ont déménagé dans la capitale et se sont transformés en un groupe électrique de quatre musiciens avec l'arrivée de la bassiste Sian Lynch et du batteur Michael Nash. Avec leur entrée fracassante dans l'industrie, ces quatre-là ont démontré leur aptitude à conjurer et à captiver une foule et à laisser penser qu'ils n'en sont qu'à l'acte I.
Ouvrez les rideaux.
Des nocturnes aux cauchemars.
Picture Parlour a récemment diffusé sa transmission histrionique à travers les quartiers ténébreux du sud de Londres et au-delà, gagnant la reconnaissance de tous ceux qui ont eu l'intelligence de les découvrir jusque-là. Après seulement une poignée de concerts, ce groupe a fait une entrée fracassante sur la scène musicale.
En observant leur set live, vous vous demanderez si vous ne vous êtes pas retrouvés en juillet 1976, assis au dernier rang poussiéreux d'un Ciné Lumière, attendant une projection néo-noir sordide. A condition d'avoir réussi à décrocher un billet avant qu'il ne soit épuisé, ce qui est de plus en plus fréquent avec ce groupe fiévreux.
Préparez-vous à un interlude de mini-cinéma qui se propose de séduire le public avec les paroles d'un comédien né, accompagnées d'une généreuse dose de guitares envoûtantes et de lignes de basse sordides.
Picture Parlour est composé de l'auteur-compositeur-interprète Katherine Parlour (côté bleu de Liverpool) et de la guitariste Ella Risi (côté blanc du Yorkshire). Elles ont commencé à écrire ensemble pendant la pandémie, développant leur propre son et s'inspirant de Patti Smith et Nick Cave, pour n'en citer que deux.
Depuis, ils ont déménagé dans la capitale et se sont transformés en un groupe électrique de quatre musiciens avec l'arrivée de la bassiste Sian Lynch et du batteur Michael Nash. Avec leur entrée fracassante dans l'industrie, ces quatre-là ont démontré leur aptitude à conjurer et à captiver une foule et à laisser penser qu'ils n'en sont qu'à l'acte I.
Ouvrez les rideaux.
